#samueljean
Interview Opéra Magazine
Le Messie du peuple chauve d'Éric Breton
Opéra Grand Avignon - novembre 2020
Dirigé par Samuel Jean, l’Orchestre National Avignon-Provence est absolument impeccable pendant toute la représentation ; il va crescendo-decrescendo en séquences répétitives aux échos minimalistes de Phil Glass ou John Adams, cette fois.
Irma Foletti, Anaclase
La partition parcourt le spectre sonore allant de la ligne soliste au timbre délicat jusqu'en d'immenses masses engloutissantes, en passant par les riches influences de l'exotisme ou du cabaret. Le chef Samuel Jean dirige l'Orchestre National Avignon-Provence dans toute cette richesse, par une direction à la fois très ample et très précise.
Olyrix
(…) l’obligation de distanciation, contraignant les musiciens de s’espacer les uns des autres, rend ici la plus délicate la tâche du chef, les bois et les percussions étant rejeté hors de la fosse côté jardin pour les uns, côté cour pour les autres.
Faire jouer ensemble, à l’occasion d’une création, des musiciens qui ne s’entendent pas, est chose périlleuse, mais Samuel Jean, relève le défi : les tenues des cordes sonnent bien, les bois sont volubiles, et les percussions dosent leurs effets. Il y a, dans la direction du chef français, un mouvement d’ensemble qui fait du Messie du Peuple Chauve une noble déploration.
Christian Wasselin, Opéra Magazine
La Périchole d'Offenbach
Opéra Grand Avignon - novembre 2019
En parfaite osmose avec la direction subtile et poétique de Samuel Jean à la tête de l’Orchestre Régional Avignon-Provence, qui donne à entendre la gravité et la mélancolie derrière l’amusement de façade, la mise en scène d’Éric Chevalier tire parti d’un dispositif simple mais efficace, réglé de façon aussi minutieuse que le mécanisme de précision qu’est le livret de cet opéra-bouffe.
Fabrice Malkani, Forum Opéra
L’Orchestre Régional Avignon-Provence est conduit avec une alacrité électrique par Samuel Jean et un sens des nuances que l’on salue, en harmonie parfaite avec la finesse et de la partition et de cette production à l’élégance joyeuse.
Classiquenews, Benito Pelegrin
Enfin, comme à leur bonne habitude, l’Orchestre Régional Avignon-Provence et le Chœur de l’Opéra Grand Avignon sont d’un excellent niveau, et le Premier chef invité de la phalange provençale, Samuel Jean qui connaît bien son Offenbach, les mène avec entrain et dynamisme.
Opera-online, Emmanuel Andrieu
Dans la fosse, Samuel Jean ne craint pas ici, et de belle manière, d’affirmer son goût pour un répertoire moins léger qu'il ne paraît. Il le défend avec conviction et compétence. Il laisse s’épanouir le rythme, la mélodie, soutient attentivement les chanteurs et conduit un convaincant Orchestre Régional Avignon-Provence avec ferveur et équilibre.
Christian Colombeau, Arts Spectacles.com
La Bohème de Puccini
Opéra Grand Avignon - janvier 2019
« En fosse, l’Orchestre Régional Avignon-Provence confirme les progrès constatés, ces dernières saisons, sous la houlette de Samuel Jean, son Premier Chef invité. Celui-ci bannit tout sentimentalisme de sa lecture, sans pour autant sacrifier le velours et la sensualité inhérents à la partition. La passion, l’ivresse, le pathos sont au rendez-vous quand il le faut, mais sans rien de sirupeux, trivial ou banalement mélodramatique. »
Richard Martet, Opéra Magazine, mars 2019
« Il en va de même pour la magnifique direction de Samuel Jean tirant de l’Orchestre Régional Avignon-Provence tout le génie orchestral que Puccini a mis dans l’indémodable partition. »
Jean-Luc Clairet, Resmusica , janvier 2019
« La musique de Puccini demeure cependant intacte et les lumières de Roberto Venturi accompagnent les atmosphères créées par les musiciens de l’Orchestre Régional Avignon-Provence. S’il se montre d’abord très présent, avec des cuivres à la traîne et de petits décalages dans les moments les plus difficiles, l’orchestre fait toujours preuve de riches couleurs, particulièrement lors du sublime acte IV, sous la direction souple et impliquée de Samuel Jean. »
Emmanuel Deroeux, Olyrix, janvier 2019
« En fosse, le chef principal de l’Orchestre Régional Avignon-Provence, Samuel Jean, tient sa phalange (et son plateau) avec un dynamisme qui force l’admiration. Avec autant de précision que de rigueur, il veille à l’architecture générale de l’ouvrage, tout en respectant la couleur sonore particulière de chacun des actes. »
Emmanuel Andrieu, opera-online, janvier 2019
« La direction du chef Samuel Jean est une réussite, par ses intentions, ses choix de nuances et de tempi. La musique est bien présente, d’un certain volume mais en évitant – sauf exception – de couvrir les chanteurs. Certains pupitres flattent l’oreille plus que d’autres, comme le superbe violon solo ou les très jolis passages du xylophone. »
Irma Foletti, Anaclase, janvier 2019
« Par bonheur la direction de Samuel Jean privilégie l'élégance du phrasé, la poésie lunaire de la mélodie, l'abandon élégiaque de la sensualité à fleur de peau des amours exprimées. Elle ne laisse jamais dans l'ombre l'aspect tragique de la partition, couvre parfois les voix, tant le chef se montre très soucieux des épanchements érotiques des protagonistes. Pour finir, clamons le haut et fort : Orchestre Régional Avignon-Provence, Chœur et Maîtrise de l'Opéra Grand Avignon comme toujours impeccables ! »
Christian Colombeau, Arts&Spectacles, janvier 2019
« A la baguette, Samuel Jean tire une nouvelle fois le meilleur de l’Orchestre Régional Avignon-Provence décidément à l’aise dans tous les registres. Si les cuivres, éclatants, couvrent parfois un peu les voix, le jeu est nuancé, tour à tour intimiste, poétique, enthousiaste et nous livre sans détour cette magnifique et éternelle partition de Puccini. »
Jean Louis Blanc, Lebruitduuofftribune, janvier 2019
« La musique de Puccini, transmise par l’orchestre Régional d’Avignon Provence sous la direction de Samuel Jean, nous touche le cœur, nous émeut et nous tire les larmes des yeux, parfaitement servie par cette fabuleuse distribution ! »
Jacques Jarmasson, LeProjecteurTV.com, janvier 2019
La Traviata de Verdi
Opéra Grand Avignon - juin 2018
« La direction équilibrée et précise de Samuel Jean, à la tête d’un exemplaire Orchestre Régional Avignon-Provence et d’un Chœur de l’Opéra Grand Avignon d’une grande homogénéité, insuffle toute la théâtralité voulue à la partition. »
Alfred Caron, Opéra Magazine, septembre 2018
« Directeur musical de la phalange provençale, Samuel Jean entraîne l’Orchestre Régional Avignon-Provence dans un élan passionné, avec des tempi parfois étonnamment rapides, comme dans la fin du duo entre Violetta et Germont, ainsi que lors du tableau chez Flora. En faisant sonner ainsi les timbres, il restitue à l’orchestre son rôle moteur »
Emmanuel Andrieu, Opera-online, juin 2018
« Autre grand corps festif, celui du chef Samuel Jean, qui prend sous les ailes de ses bras une phalange avignonnaise (l’Orchestre Régional Avignon-Provence) à l’allant palpable, au jet sonore direct. »
Florence Lethurgez, Olyrix, juin 2018
« Au pupitre d’un Orchestre Régional Avignon-Provence concentré, Samuel Jean dirige de manière franche et sérieuse, sans débauche de variations dans les contrastes ou les couleurs, privilégiant l’avancée du drame. »
Irma Foletti, Anaclase, juin 2018
« La baguette était confiée à Samuel Jean, chef permanent de l’Orchestre Régional Avignon-Provence, qui sut trouver les couleurs et les équilibres sonores dans la salle dite éphémère du Grand Avignon. »
Jacques Jarmasson, le ProjecteurTV, juin 2018
L'Élixir d'amour de Donizetti
Opéra de Tours - Mars 2018
« A la tête d’un Orchestre Symphonique Région Centre-Val de Loire de bonne tenue et du Chœur de l’Opéra de Tours, manifestement ravi de l’aventure, l’excellent Samuel Jean dirige un plateau solide, imprimant à la soirée un rythme irrésistible. »
Thierry Guyenne, Opéra Magazine, Avril 2018
« L’Orchestre Symphonique Région Centre-Val de Loire/Tours est dans la meilleure des formes également. Sous la direction de Samuel Jean, les bois se distinguent souvent, et la couleur mélancolique ressort davantage avec le choix de tempi parfois ralentis. Donizetti se distingue par son don incroyable des sensations et des sentiments sincères dans la texture même de la musique. La caractérisation musicale est incroyable et d’un naturel confondant »
Sabina Pena Arcia, classiquenews, mars 2018
« Tout au long de la représentation, la belle direction musicale du maestro Samuel Jean invite l'Orchestre Symphonique Région Centre-Val de Loire/Tours à être particulièrement attentif à la beauté vocale, aux tempi, volumes sonores et à la synchronisation. Une connaissance du répertoire bel canto saluée en fin de spectacle par des applaudissements mérités. »
Henri Runey, Olyrix, mars 2018
Dialogues des Carmélites de Poulenc
Opéra Grand Avignon - janvier 2018
« Samuel Jean impose une lecture puissante, solidement charpentée, avec des tempi assez rapides qui font constamment avancer l’action. Quand à l’Orchestre Régional Avignon-Provence, stimulé par la baguette de son Premier Chef Invité, il fait plaisir à entendre, surtout comparé avec la précédente production du chef d’œuvre de Poulenc à Avignon en 2011. La formation, qui traversait à l’époque une période sombre de son histoire, accusait un cruel manque de cohésion et de fini instrumental. Ces soucis appartiennent désormais au passé, et l’on se réjouit de la richesse des sonorités et de la précision des attaques déployées dans ces Dialogues. »
Richard Martet, Opéra Magazine, mars 2018
« Côté musical, les premières félicitations vont pour le chef Samuel Jean ainsi qu’aux musiciens de l’Orchestre régional Avignon-Provence qui offrent un fil narratif orchestral passionnant et constant tout au long des trois heures de représentation. La sobriété est le maître mot mais les différentes couleurs et énergies sont subtilement amenées sans fracas ni effets superflus. »
Sébastien Herbecq, Bachtrack, février 2018
« L’orchestre Régional Avignon-Provence, fer de lance de l’Opéra d’Avignon, confirme encore sa polyvalence dans cette saison lyrique et symphonique au programme éclectique. Il en est de même du Chœur de l’Opéra, toujours excellent. Après un « Orphée » d’inspiration baroque et deux concerts symphoniques remarquables consacrés dernièrement à Beethoven, l’orchestre, placé sous la baguette de Samuel Jean, aborde avec maîtrise la musique de Francis Poulenc qui fait appel à toutes les couleurs de l’orchestre et qui exige la plus grande précision. Cette musique directe évoque avec clarté et limpidité la palette des multiples sentiments humains présents dans l’opéra, sentiments complexes et nuancés allant de la légèreté et des petits soucis quotidiens à la plus haute spiritualité en passant par la peur, le doute, le courage, la foi et le dévouement suprême. »
Jean-Louis Blanc, le Bruitduofftribune, février 2018
« La direction musicale de Samuel Jean à la tête de l’Orchestre Régional Avignon-Provence et du Chœur de l’Opéra Grand Avignon est précise, claire, dans une tradition française, attentive aux couleurs. »
Benito Pellegrin, Classiquenews, Février 2018
« À la tête du Chœur et de l’Orchestre Régional Avignon-Provence, Samuel Jean donne corps avec une forte conviction à la musique de Francis Poulenc. En dehors de quelques moments un peu forts pour cette salle provisoire d’Opéra Confluence et de tempi un rien ralentis en première partie, sa direction s’avère fort convaincante sur la durée et surtout en phase avec la réalisation scénique proposée. »
José Pons, Olyrix, janvier 2018
« La direction maîtrisée de Samuel Jean ne perd jamais le fil de la narration malgré des tempos relativement lents et chargés de sens qui donnent un sentiment de flamme intérieure et d’humanité. »
Michel Le Naour, Concertclassic, février 2018
« Enfin, placé à la tête de l’Orchestre Régional Avignon-Provence qui sonne clair et franc, Samuel Jean évite la surcharge d’intention ou de lyrisme, quitte à décevoir ceux que le mélodisme profondément romantique de Francis Poulenc n’effraie pas… »
Emmanuel Andrieu, Opera-Online, février 2018
« Cette ferveur, cet élan, cette spiritualité unique dans la musique française, on la trouve également dans la fosse. Samuel Jean fait sonner (dans le bon sens du terme) l'Orchestre Régional Avignon-Provence, sec, dru, âpre et insuffle à son Poulenc une énergie rare. »
Christian Colombeau, Arts&Spectacles, janvier 2018